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À CHAQUE ESPRIT SON ENCRIER...


La Foi positive… (1)

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La Foi positive… et plus précisément celle qui fait admettre le concept d'entités protectrices et leur hiérarchie, si elle s'est développée en premier par le biais du polythéisme, avant d'aboutir au monothéisme, n'en exclut pas pour autant d'autres "présences possibles" dont celle de véritables "porteurs de Lumière" (titre qui selon des écritures fut usurpé par un certain Lucifer). Ainsi l'idée de conscience en tant qu'Ange-Gardien n'en est pas moins restée représentative de moult pensées pacifistes humaines. Alors, si l'on souhaite soutenir la dévotion (altruisme) qui a fort à faire face à l'effondrement du sens naturel de la vie humaine (matérialisme) il serait peut-être utile de rétablir ce "Surmoi" dans sa fonction de médiateur et de messager individuel, afin de le rendre plus efficace en cas de pulsion négative du " Ça " collectif.

             

Nous savons que sa présence invisible ne peut se révéler en nous qu'à la condition d'admettre sa propre "présence d'esprit"…  Car c'est alors que cette Foi qui n'est pas forcément religieuse, peut apporter, sinon le bonheur, au moins le sentiment d'un grand réconfort, et que ce peut-être par le biais de pensées positives qu'elle nous accompagnera; nous aidant alors en beaucoup de circonstances difficiles: en nous défendant des dangers du " Ça " anarchique. Et quand bien ladite Foi peinerait de nos jours à "soulever ses montagnes" gageons qu'il reste possible qu'elle nous portera encore longtemps entre ses mains: comme une mère aimante porte son enfant…

 

RHD


22/10/2016
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La Foi positive… (2)

La foi nous offre de penser que peut-être…  quelque entité éclectique nous aurait pourvus en esprit, afin de contribuer  pour parfaire notre évolution. Cela peut se ressentir à certains moments de notre vie, lorsque s’impose en nous le désir de faire quelque chose d’inhabituel, sans trop savoir pourquoi. Il peut s’agir parfois d’un courant d’ondes, ou de quelque chose d’indéfinissable, qui est venu d’ailleurs, et donc qui diffère des impulsions électriques directement analysées par notre cerveau, mais qui nous pousse comme lui à faire ceci plutôt que cela… sinon que ce dernier, s’il n’est pas autrement initié qu'à subir des comportements basiques qui ne s'obtiennent guère que d'une civilisation ou de quelques autres, ne s’appuiera guère que sur des données généralistes.


02/11/2016
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La Foi positive… (3) par RHD

Le synchronisme naturel avec un monde spirituel ne s’obtient pas simplement en claquant des doigts!

 

Si tout est possible par le rêve: il en est tout autrement pour accéder à son mystère. Celui de la foi, s’il n’est guidé par l’Entité d’Amour peut se muer en son contraire. Lequel contraire peut très bien agir quand on ne s’y attend pas! D’autant que les chemins dont il dispose pour manifester sa puissance sont innombrables.

 

Lorsque avant toute initiation, certaines dispositions semblent innées, par exemple: si on perçoit des voix que l’on peut juger pour être paranormales car non pathologiques, et que l’on éprouve régulièrement des flashs médiumniques, que l’on sait voir des  " objets " dans les auras… il est facile d’en déduire que l’on possède un don particulier et de pouvoir l’évaluer.

Mais ces particularités psychiques peuvent être aussi moins évidentes, moins explicites, moins fréquentes qu'il n'y parait. Cela peut ne concerner que de vagues impressions de déjà vu, des rêves un tant soit peu significatifs… ou notre simple mais bonne intuition… La médiumnité dans la foi est-elle un pouvoir? Ça, je l’ignore… mais elle permet au moins de recevoir des avertissements, d’avoir des échanges avec d’autres mondes… de donner et recevoir de bons conseils de la part d'une ou plusieurs Entités issues de l'Esprit Universel.


12/11/2016
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La Foi positive… (4) par RHD

Bien sûr la médiumnité dans la foi est toujours différente d’une personne à l’autre, et ce n’est qu’en comparant nos propres expériences qu’on pourra tenter de se situer quant à la qualité et la force de son universalité.

 

Qui a su "voir et entendre autrement" c'est-à-dire au-delà de sa propre vue, de sa seule oreille humaine, est apte à développer cela…

 

Toute personne qui peut percevoir de façon plus ou moins distincte, des images anciennes, ou au contraire futuristes, rien qu'en dévisageant non seulement des hommes et des femmes, mais aussi en plongeant son regard dans celui d'un animal, possède un don de médiumnité. Il se peut que ce don soit latent, voire que l’on choisisse de s’en débarrasser en le niant très fort, car le craignant, et pendant longtemps, mais qu’il émerge à nouveau, pour telle ou telle raison. Lesquelles raisons peuvent être liées à des modifications de l’état de santé, de l’état nerveux ou psychologique, faire suite à un accident, ou une grave opération…

 

Si vous « captez » ce genre d’images, il serait intéressant de savoir s’il est possible de distinguer aussi la façon dont les personnages sont vêtus. Portent-ils des vêtements modernes? Ou au contraire anciens? Sont-ils fortement entourés de lumière plus ou moins blanche?

Ce genre d’indices est important. Il peut permettre d’envisager si les formes perçues sont celles d’esprits décédés récemment, ou au contraire il y a un certain temps, ou encore s’il s’agit de la présence d’entités spirituelles… comme peut-être…  des guides de lumière…

Si on est suffisamment sensitif , à certains moments, on peut ressentir la proximité d’entités autour de soi. Nous sommes tous entourés d’entités en permanence. Certains l’ignorent ou le nient. D’autres en doutent. Mais les personnes suffisamment sensibles le savent de façon très nette.

 

Le fait d'être ainsi entouré n’a rien d’alarmant en soi. Sauf bien sûr, si les entités qui nous environnent sont nuisibles. Mais si vous voyez des formes, des êtres, des esprits, cela signifie très probablement que quelque chose de vous les attire. Ce peut être votre foi en eux ou l'inverse… même si c’est indépendant de votre volonté, de votre savoir.

 

Tout esprit dont les vibrations restent proches des vibrations terrestres se rend compte assez facilement si une personne est réceptive ou pas. Les êtres spirituels évitent de nous effrayer, alors que certains esprits farceurs peuvent s’en amuser. Mais bon nombre d’esprits ne se rendent tout simplement pas compte qu’ils peuvent nous angoisser… surtout quand tout est sombre… et notamment la nuit.

Il est cependant possible que vous puissiez vous faire une meilleure idée de la nature de ces entités si vous les laissiez venir à vous… car la foi sert aussi à ça! Vous pourriez même les aider en vous aidant… marcher ensemble… en douceur… vers la lumière. Mais cette faculté n’est pas sans risque. Pas plus qu'il n'est donné à tout le monde de savoir en user.


17/11/2016
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Comment écrire une poésie?

   Écrire une poésie, qu'elle soit rimée ou non, en strophes, ou en usant de façon plus prosaïque par de simples retours à la ligne, ça consiste tout de même à donner ou révéler un peu de soi à chaque fois…

 

   Lorsqu'elle est vue sous un certain angle qui consiste à laisser notre émotion s'exprimer en mode direct, on peut en dire qu'elle est du genre libre par excellence. Ainsi, en partant des trois vers que comporte le haïku japonais pour arriver aux douzains (strophes de douze vers) la versification d'aujourd'hui peut n'être bridée par aucune règle stylistique particulière. Il est donc devenu normal de voir à présent s'afficher dans nos blogs, de nombreuses constructions différentes.

 

   Il reste qu'à la différence d’un texte répondant à la dénomination de roman ou de nouvelle, lesquels s’articulant généralement par des paragraphes écrits en lignes droites réputées consécutives à un "avant" et préparant le lecteur à un "après" qui lui est cohérent: la versification est néanmoins composée à partir de deux axes, le vers et la strophe. Le vers, par sa nature poétique, est l’unité de base d’un poème. Pas nécessairement rimé ni régulier, il se doit cependant de donner du rythme à la strophe. En revanche lorsque qu'ils sont sensés suivre une métrique "moderne" choisie par l'auteur, celle-ci se mesura en nombre de syllabes ou phonèmes. Sans pour autant pouvoir se qualifier du célèbre 12 syllabes immortalisé sous le nom d’alexandrin qui reste régi par des règles complexes: rimes et césures comprises! Ceci n'empêchant pas qu'en poésie moderne, les vers réguliers demandent un minimum d'attention dans le comptage des pieds (syllabes), et de respecter quelques règles de prononciation.

 

Si le vers est l’axe horizontal du poème, la strophe en est l’axe vertical. Elle détermine la longueur du de chaque groupe de vers réunis ensemble. Celle-ci pouvant ne contenir qu'un d’un seul vers (ou monostiche) ou bien jusque six, huit, dix, et même douze (on parle alors de douzain). La taille de la strophe se choisit principalement selon que le poème forme un groupe homogène de strophes de vers réguliers se correspondant entre eux (même nombre de pieds-même image) ou si le choix d’alterner des longueurs de strophe différentes est assumé par d'autres règles de cohésion. L’exemple le plus évocateur étant le sonnet qui additionne deux quatrains réguliers (strophes de quatre vers) et deux tercets réguliers (trois vers). La strophe indique la progression du sujet, mais aussi les vers riment ensemble. On se rappelle les formes en AA-BB (simples), ABAB (croisées), ABBA (embrassées). D’autres effets comme l’enjambement ou le rejet jouent de façon à ce qu’un mot en pleine phrase, et non en fin de phrase, fasse office de rime interne qui suppléera celle externe.

 

Même si l'on fait le choix délibéré d'écrire son texte en vers libérés…quelques règles restent utiles à connaître pour le cas où l'on se prendrait à vouloir tâter du vers régulier:
Notamment il convient de savoir quels sont les «h» véritablement muets. Quelles liaisons doit-on faire ou abstraire. Quand peut-on ne pas prononcer le «e» (apocope)… Certains détails sont encore plus subtil: tel la diérèse (cieux, se prononçant «ci-eux» compte alors pour deux pieds). Certes, vous admettrez comme moi que cette façon de composer qu'il me plait souvent de taquiner est propre à la versification classique de la Renaissance et répond mieux au symbolisme des romantiques. Pourtant, si le poète peut tout à fait s’affranchir du calcul de pieds, il est important de s’y familiariser au moins pour savoir bien lire les poèmes des anciens. De la même manière qu’un écrivain chevronné a nécessairement beaucoup lu et vécu, un jeune poète se doit de lire de nombreux recueils de tout style afin de choisir le ou les siens. Globalement, je dirai qu'en l'absence de tout bagage, il est plus avisé de faire des vers libres, voire d'écrire de très courtes nouvelles en prose poètico-romantique, du moins au départ, plutôt que des vers qui seraient bancals en nombre de pieds et munis de rimes archi pauvres. Car dans ce cas: le rythme ne sera pas facile à trouver et le lecteur s'y perdra. C'est donc que si la poésie se conjugue également sous une forme qui peut s'identifier à la prose, c'est qu'elle revêtira la forme la plus libre qu’il soit: elle sera dépourvue de rimes et ne comptera ni pieds ni n’accordera d’importance à la longueur et au nombre de strophes. Cette forme peut sembler difficile à différencier d’un texte en prose traditionnelle. Sinon que les images s'obtiendront verticalement en mot par mots entre lesquels on intercale ou non des groupes de deux, trois, voire quatre mots ne présentant pas la moindre ponctuation. On fera principalement la différence en comparant l’effet ressenti par la poésie, telle que la description d’un tableau vivant, d'un paysage mouvant, ou d'une émotion qui arrive crescendo, puis s'arrête et reprend à un instant précis, pour déclencher au mieux la notion abrégée qui se perçoit d'un récit dans la durée… comme c’est le cas pour un roman et encore plus pour une nouvelle.

 

RHD


26/06/2016
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